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Afrique XXI

Crime de guerre

  • L'image représente une œuvre abstraite peinte sur toile. Les couleurs dominantes incluent des bleus vifs qui évoquent des émotions de profondeur et de calme, contrastant avec des touches de noir qui apportent une certaine intensité. Des traînées d'orange et de rouge s'entrelacent, ajoutant une dynamique vive et énergique. Les coups de pinceau sont expressifs, créant des formes fluides qui semblent se déplacer à travers la toile. L'ensemble évoque un sens de l'énergie et du mouvement, invitant le spectateur à ressentir la force et la passion de l'artiste à travers les couleurs et les textures. Butin de guerre La Rédaction · 28 mars
  • L'image représente une scène animée dans un quartier urbain. On peut imaginer un marché ou un point de distribution d'eau, où de nombreuses personnes sont rassemblées. Des hommes et des femmes, de divers âges, s'affairent autour de grands récipients jaunes qu'ils remplissent d'eau. Le sol semble en désordre, avec des déchets visibles, ajoutant une impression de négligence dans l'environnement. Des parapluies colorés sont déployés, fournissant un peu d'ombre sous un ciel légèrement nuageux. Au fond, on peut apercevoir des bâtiments et des arbres, tandis qu'un motard fait la queue avec sa moto, indiquant une activité routière environnante. L'atmosphère est dynamique, avec une forte interaction entre les gens. À Goma, un mois sous le joug du M23 Hakim Maludi · 28 février
  • Imaginez une surface fluide et dynamique, presque comme des vagues dans l'eau. Les couleurs tourbillonnent et s'entrelacent, créant des motifs doux et asymétriques. Les teintes de bleu profond se mélangent avec des nuances de violet, tandis que des touches de blanc éclatant et de rouge éclairent le tableau, ajoutant une sensation de chaleur. Les contours sont organiques et sinueux, évoquant un mouvement constant, presque hypnotique. Cette image pourrait transmettre une impression de calme ou de rêverie, invitant à l'exploration sensorielle dans un monde abstrait. Artifices La Rédaction · 14 février
  • L'image montre un homme portant un uniforme militaire camouflé. Sur la manche de son uniforme, il y a un écusson tricolore représentant le drapeau éthiopien. Ce drapeau est composé de trois bandes horizontales : la bande supérieure est verte, la bande du milieu est jaune et la bande inférieure est rouge. Au centre, on retrouve une étoile bleue entourée d'un cercle doré. L'ensemble de la scène donne une impression de force et de discipline militaire. Éthiopie. « Les gardes ne nous traitaient pas comme des êtres humains » Augustine Passilly · Décembre 2024
  • L'image présente une scène d'une conférence ou d'un événement lié à la Cour pénale internationale (CPI). Sur le côté gauche, un encadré orange affiche le titre "Horizons XXI" et le numéro 7, indiquant le thème de la discussion sur la justice internationale. On y voit également le nom de la conférencière, Rafaëlle Maison, professeure de droit à Paris-Sud. À droite, on aperçoit un bâtiment moderne, probablement le siège de la CPI, avec des façades en verre réfléchissant la lumière. En bas à droite, le logo de la Cour pénale internationale est visible, symbolisant la justice internationale. L'ensemble communique une ambiance académique et sérieuse, évoquant des discussions sur des enjeux juridiques importants. Cour pénale internationale, une justice pour tous ? Michael Pauron, Sarra Grira · Décembre 2024
  • L'image montre une scène dans un lieu qui semble être un centre de réhabilitation ou un hôpital. Au premier plan, un jeune homme se tient à l'aide de béquilles, son regard fixé sur son reflet dans un grand miroir devant lui. Il porte une chemise à rayures et des pantalons clairs. Dans le miroir, on peut voir un autre homme, qui a une prothèse de jambe et se tient debout, semblant plus confiant. Sur le côté, une chaise roulante est disposée, suggérant un environnement d'assistance. Les murs autour d'eux sont simples et montrent des signes d'usure. L'atmosphère évoque des efforts de réhabilitation et de courage. En Éthiopie, l’effroyable guerre du Tigray La Rédaction · Décembre 2024
  • L'image montre une grande fresque murale peinte sur un mur. Au premier plan, on voit une rangée de silhouettes représentant des soldats, chacun portant un uniforme noir et un casque. Ils sont alignés de manière uniforme, les bras le long du corps. En arrière-plan, le mur est peint en bleu, ce qui fait ressortir les personnages. En haut, on peut lire en grandes lettres rouges le texte "THIAROYE 44", et en dessous, "UNE HISTOIRE INOUBLIABLE". Cette œuvre évoque une mémoire historique importante, probablement liée à des événements marquants qui ont eu lieu à Thiaroye, une ville du Sénégal. L'ensemble de l'image crée une ambiance à la fois sérieuse et respectueuse, honorant un passé collectif. « En réclamant leur dû, c’est la mort qu’ils ont obtenue » Rémi Carayol · Novembre 2024
  • L'image montre un homme assis sur une chaise en plastique violette, contre un mur de couleur beige avec des fenêtres rectangulaires qui laissent passer une lumière douce. Il porte des lunettes de soleil noires et un vêtement traditionnel de couleur claire, accompagné d'un châle blanc drapé sur ses épaules. L'homme est en train de parler au téléphone, son visage exprime la concentration et la sérénité. L'environnement est calme, évoquant un moment de détente dans un cadre paisible. Des descendants de tirailleurs face aux « intérêts de l’Empire » Clair Rivière · Novembre 2024
  • L'image montre l'entrée du cimetière militaire de Thiaroye. Un grand arc de portail est inscrit avec le nom "CIMETIÈRE MILITAIRE DE THIAROYE". En arrière-plan, on peut apercevoir quelques arbres, dont des palmiers, qui ajoutent une touche tropicale à la scène. Au premier plan, une personne marche, portant un grand récipient sur sa tête. Le sol est en béton, avec des traces de circulation. De part et d'autre de l'entrée, des murs affichent des drapeaux de différentes nations, apportant une sensation de diversité. L'ensemble dégage une ambiance calme et respectueuse. Thiaroye 1944. Les dernières zones d’ombre d’un massacre colonial Clair Rivière · Novembre 2024
  • L'image montre un vaste camp de tentes et de logements temporaires disposés de manière dense sur un terrain désertique. Les structures sont recouvertes de toits de différentes couleurs, principalement des teintes de bleu, de rouge et de gris. Le sol est sablonneux, et quelques arbres ou buissons apparaissent ici et là, apportant un peu de verdure. En bas de l'image, on peut apercevoir des personnes se déplaçant entre les tentes, évoquant une activité quotidienne dans ce milieu. L'ensemble dégage une impression d'organisation dans la diversité des abris, tandis que le paysage aride souligne les conditions de vie dans ce camp. À Mberra en Mauritanie, survivre à l’enfer malien Alissa Descotes-Toyosaki · Novembre 2024
  • Sur le mur, on peut voir une grande fresque représentant un poing levé, symbole de résistance et de solidarité. Ce poing est peint dans des tons clairs, avec des détails qui soulignent sa force. Autour de lui, plusieurs drapeaux flottent, chacun arborant des motifs distincts en rouge et jaune, rappelant des symboles nationaux. En arrière-plan, on distingue des formes qui évoquent des paysages, créant une ambiance dynamique et engageante. L'ensemble transmet une forte impression de détermination et d'unité. « Ça ne se réglera pas sans une nouvelle guerre » Mehdi Labzaé · Juillet 2024
  • L'image représente une scène vibrante et émotive d'un groupe de personnes au bord d'une rivière. Au premier plan, une femme porte un enfant sur son dos, enveloppé dans un tissu coloré. Son expression est sérieuse et déterminée. Elle est entourée d'autres personnes, dont certaines portent également des enfants. Les vêtements des personnes sont variés, avec des motifs et des couleurs vives. En arrière-plan, on aperçoit des rochers et une végétation légère, ainsi que d'autres silhouettes de personnes se déplaçant le long de la rive. L'atmosphère semble chargée d'une mixité d'activités et d'émotions, reflétant à la fois la vie quotidienne et des moments de transition. « J’ai fini par donner ma fille sinon ils l’auraient prise de force » Mehdi Labzaé · Juillet 2024
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