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  • L'image montre une grande fresque murale peinte sur un mur. Au premier plan, on voit une rangée de silhouettes représentant des soldats, chacun portant un uniforme noir et un casque. Ils sont alignés de manière uniforme, les bras le long du corps. En arrière-plan, le mur est peint en bleu, ce qui fait ressortir les personnages. En haut, on peut lire en grandes lettres rouges le texte "THIAROYE 44", et en dessous, "UNE HISTOIRE INOUBLIABLE". Cette œuvre évoque une mémoire historique importante, probablement liée à des événements marquants qui ont eu lieu à Thiaroye, une ville du Sénégal. L'ensemble de l'image crée une ambiance à la fois sérieuse et respectueuse, honorant un passé collectif. « En réclamant leur dû, c’est la mort qu’ils ont obtenue » Rémi Carayol · Novembre 2024
  • Cette image représente une scène dynamique d'un rassemblement ou d'une manifestation. Au centre, on peut voir une personne levant une pancarte où il est écrit en grands caractères "ABAS LA FRYCE". Les participants autour semblent mobilisés et engagés dans la discussion ou l'action. En arrière-plan, on aperçoit des bâtiments et une foule, ce qui donne une impression de mouvement et d'énergie collective. En bas de l'image, il y a un encart présentant le numéro de l'événement, un titre en lien avec le sujet du rejet de la France en Afrique, ainsi que des noms de participants et un logo. L'ambiance générale est celle d'une mobilisation sociale autour d'un thème important. De quoi le rejet de la France en Afrique est-il le nom ? Michael Pauron · Novembre 2024
  • L'image montre un homme assis sur une chaise en plastique violette, contre un mur de couleur beige avec des fenêtres rectangulaires qui laissent passer une lumière douce. Il porte des lunettes de soleil noires et un vêtement traditionnel de couleur claire, accompagné d'un châle blanc drapé sur ses épaules. L'homme est en train de parler au téléphone, son visage exprime la concentration et la sérénité. L'environnement est calme, évoquant un moment de détente dans un cadre paisible. Des descendants de tirailleurs face aux « intérêts de l’Empire » Clair Rivière · Novembre 2024
  • L'image montre l'entrée du cimetière militaire de Thiaroye. Un grand arc de portail est inscrit avec le nom "CIMETIÈRE MILITAIRE DE THIAROYE". En arrière-plan, on peut apercevoir quelques arbres, dont des palmiers, qui ajoutent une touche tropicale à la scène. Au premier plan, une personne marche, portant un grand récipient sur sa tête. Le sol est en béton, avec des traces de circulation. De part et d'autre de l'entrée, des murs affichent des drapeaux de différentes nations, apportant une sensation de diversité. L'ensemble dégage une ambiance calme et respectueuse. Thiaroye 1944. Les dernières zones d’ombre d’un massacre colonial Clair Rivière · Novembre 2024
  • L'image montre deux militaires en discussion dans un environnement extérieur. À gauche, un soldat vêtu d'un uniforme camouflage, portant un casque et tenant un fusil. À droite, un autre militaire, qui porte une tenue camouflage et un béret rouge. Il semble gesticuler en indiquant une direction. En arrière-plan, on aperçoit d'autres soldats flous, ce qui suggère qu'ils sont dans une zone d'entraînement ou opérationnelle, entourée de végétation et d'arbres. L'ambiance est sérieuse et dénote une situation de coordination ou de briefing entre les membres de l'armée. Au Mozambique, l’Europe sur le pied de guerre Andreas Bohne, Fredson Guilengue · Novembre 2024
  • L'image représente un événement animé dans une grande salle remplie de personnes. Au premier plan, un homme en tenue décontractée, portant une chemise claire et une casquette, marche avec assurance sur la scène. Il semble interagir avec le public, qui se compose de nombreux spectateurs enthousiastes, certains levant les mains en signe d'encouragement. La foule est colorée, avec des personnes habillées en diverses tenues, et des drapeaux ou accessoires visibles, suggérant un fort esprit communautaire. En arrière-plan, on peut voir des caméras et des membres de l'équipe de sécurité, ce qui indique que l'événement est de grande envergure. L'atmosphère est d'excitation et d'engagement collectif. Au Sénégal, l’histoire de la Casamance sous la chape de la bataille électorale Vincent Foucher · Novembre 2024
  • Cette image montre la gare de Benguela, un bâtiment aux couleurs pâles et au style architectural distinctif. À l'avant, on voit un train moderne garé sur une voie ferrée. L'architecture de la gare est caractérisée par des fenêtres spacieuses qui laissent entrer beaucoup de lumière naturelle. Devant la gare, un groupe de personnes, probablement des voyageurs ou du personnel, se tient debout, discutant ou attendant. Le ciel est clair et ensoleillé, créant une ambiance vive et accueillante. Les rails de la gare sont visibles au premier plan, ajoutant au contexte ferroviaire de la scène. Angola-RDC. Le « corridor de Lobito » au cœur des rivalités entre la Chine et les Occidentaux Colette Braeckman · Novembre 2024
  • L'image montre une scène à une table de conférence, probablement lors d'une réunion aux Nations Unies. Au centre, un homme en costume noir et cravate blanche, avec un air sérieux, semble être le porte-parole ou le modérateur. À sa gauche, un homme portant une chemise bleue et des lunettes, avec un air attentif. À sa droite, un homme d'apparence plus décontractée avec un pull et une barbe, qui semble également participer à la discussion. En arrière-plan, plusieurs personnes sont assises, écoutant attentivement. Le décor est sobre, avec des murs en bois et le logo des Nations Unies en arrière-plan. L’Azerbaïdjan, un ami qui vous veut du bien ? Bernard Dreano · Novembre 2024
  • L'image présente un fond aux couleurs de drapeaux, avec des bandes verticales bleu, blanc, et rouge rappelant le drapeau français, ainsi que d'autres teintes évoquant le drapeau ivoirien. Au centre, il y a deux hommes en costume. L'homme de gauche a une expression sérieuse et porte un costume sombre, tandis que l'homme de droite, légèrement en retrait, observe avec un air grave. Le titre placé en haut indique "Horizons XXI", suivi d'un numéro et d'un thème traitant des relations entre la Côte d'Ivoire et la France, en lien avec un événement marquant. En bas, on trouve le nom de l'émission et les noms des journalistes impliqués, ainsi que le nom de la plateforme qui diffuse cette information. Côte d’Ivoire-France. 20 ans après le bombardement de Bouaké, une enquête impossible ? Michael Pauron · Novembre 2024
  • L'image montre une scène de manifestation. Au centre, une personne se tient debout, brandissant une grande pancarte sur laquelle est écrit "À BAS LA FRANCE". Cette phrase semble exprimer un sentiment de mécontentement. Autour de cette personne, un groupe d'hommes et de femmes montre diverses expressions, allant de la détermination à la colère. Certains tiennent des téléphones portables, prenant des photos ou des vidéos de la manifestation. L'arrière-plan est flou, mais on peut distinguer des bâtiments et des arbres. L'atmosphère générale dégage une forte émotion et un engagement collectif sur un sujet qui préoccupe les manifestants. Au-delà du « sentiment », les raisons du rejet de la France en Afrique Michael Pauron · Novembre 2024
  • L'image montre un homme debout dans une jungle luxuriante. Il porte une tunique légère, dont une partie est tachée de rouge, suggérant un événement émotionnel ou tragique. Le visage de l'homme exprime la surprise ou l'inquiétude, avec des traits marqués par la lumière douce qui filtre à travers le feuillage dense. Les feuilles vertes et les ombres créent une atmosphère à la fois mystérieuse et intense, plongeant le spectateur dans l'ambiance d'une nature vibrante et sauvage. On peut imaginer les sons de la jungle, comme le chant des oiseaux et le bruissement des feuilles, qui entourent l'homme. Bruno Maillard. « Les marrons ont été “déconscientisés” » Rémi Carayol · Octobre 2024
  • L'image montre un groupe de personnes rassemblées dans un espace public animé. Au premier plan, deux hommes attirent l'attention. L'un d'eux, portant une chemise à carreaux et tenant un microphone, semble s'exprimer avec passion, les bras levés, signalant une forte émotion. L'autre homme, en costume sombre, tient un appareil photo, observant et capturant le moment. En arrière-plan, on peut apercevoir une foule diverse, des visages attentifs, écoutant ou réagissant à la situation. L'atmosphère générale est dynamique, avec un sentiment de mobilisation ou de protestation. Dans « Les Portes », Gauz fait revivre l’occupation de l’église Saint-Bernard Lionel Zevounou · Octobre 2024
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