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Armelle Mabon

Ancienne Maître de conférences à l’université Bretagne Sud. Autrice de Prisonniers de Guerre « indigènes ». Visages oubliés de la France occupée (La Découverte, 2010, réédité en 2019). Ses recherches portent principalement sur le massacre de Thiaroye le 1er décembre 1944 au Sénégal. Elle a mis au jour le mensonge d’Etat sur ce massacre en 2014.

  • L'image présente une grande entrée de style architectural distinctif, peinte en rouge, qui s'élève au-dessus d'un champ de maïs. La structure est dotée d'un mur haut, orné de pointes qui se projettent vers le ciel, créant un aspect à la fois imposant et décoratif. Au centre, une porte en fer forgé permet d'entrer, et on peut apercevoir un drapeau français flottant au-dessus. Le ciel d'un bleu éclatant, parsemé de nuages légers, contraste avec la verdure des jeunes plants de maïs qui s'étendent devant le mur, ajoutant une touche de fraîcheur à la scène. Enquête Le Tata de Chasselay ou la suite de l’imposture mémorielle Armelle Mabon · 2 mai La chercheuse Armelle Mabon poursuit sa quête de vérité quant aux tirailleurs sénégalais enterrés au Tata de Chasselay. Après avoir révélé que les tests ADN qui avaient soi-disant permis d’identifier ces dépouilles étaient bidon, elle se heurte désormais à une administration qui refuse de (…)
  • L'image montre un espace extérieur bien entretenu, avec plusieurs bornes ou stèles de forme allongée disposées en rangées sur un sol en gravier. Le sol est également pavé en terrasse, et il y a un mur de couleur beige orangé qui entoure la zone. En arrière-plan, des arbres dénudés se dressent contre un ciel bleu clair avec quelques nuages. L'ensemble dégage une atmosphère de sérénité et de réflexion. Le « Tata », les tirailleurs et les tests ADN bidon Armelle Mabon · Décembre 2022 En janvier 2022, les autorités françaises ont inauguré au cimetière militaire de Chasselay deux plaques en hommage à vingt-cinq tirailleurs sénégalais identifiés « grâce à des recherches génétiques ». Sauf que ces recherches n’ont jamais été menées... L’historienne Armelle Mabon, qui a découvert (…)

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